à devenir Fou du Puy
Nous sommes arrivés bien tôt pour être certains d'être bien accueillis (et, protocolairement, on ne fait pas attendre le Vicomte).
Sur les conseils autochtones, nous avons pris quantité de duvets et polaires (les nuits sont froides dans la montagne vendéenne).
Et puis, on s'est laissés aller à découvrir la Vendée d'avant la Vendée.
La Cinéscénie du Puy du Fou nous a emportés dans le temps et à travers des tableaux vendéens pour faire revivre les temps jadis. Le spectacle m'a sciée sur place : j'ai pleuré tout ce que j'ai pu d'émotion. Tous ces gens qui travaillent bénévolement pour un résultat aussi pro. Je fut bluffée !
Recommandation : lorsqu'on est en Vendée on fait bien la différence entre le Puy du Fou et la Cinéscénie (sous entendu du Puy du Fou).
Bon c'est sûr, quelque esprit chagrin trouvera la chanson du départ à la guerre un peu gnangnan de gnangnanterie.
Bon c'est sûr, quelque esprit historien de Namou trouvera que peut-être l'histoire est lue par un œil vendéen...
mais le tout était franchement excellent.
En attendant, allez voir en cliquant là !