ososphère
Le namoureux a fait fort hier soir pour tester la force de notre namour.
Il a acheté des places pour le concert des puppetmastaz à la laiterie à 21h00.
Bon ok sur le ticket il y avait au moins 5 groupes d'annoncés,
bon ok c'était un festival d'électro,
bon ok on ne voulait pas être en retard aux puppets donc on est arrivés devant l'entrée à 20h30.
Une fois à l'intérieur, un GO local nous donne le "programme"...
Chafouine : on va avoir un problème
Namou : hein ?
Chafouine : je dis juste qu'il y a 4 groupes avant les puppets et qu'ils ne passent qu'à 1h30...
Namou : oooops... je ne le savais pas, pitié, je te juuuuure, indulgeeeence, pardooooonne moi je t'en suppppppplie !
Chafouine : on verra.
Conclusion :
- nous avons vu des groupes d'électro-hard-core. Nous rîmes à les voir s'escrimer sur leurs instruments à essayer de faire un maximum de bruit comme si nous n'étions pas là.
- Nous primes légèrement froid histoire de fabriquer quelques anti-corps
- Nous découvrimes que nous avions, pour ce week-end au moins, des loisirs de Djeun's. Pas beaucoup mieux élevés que les vieux rencontrés aux journées du patrimoine.
- Nous visitâmes une expo d'art éléctro-eclecto-lumino-décadent délicieusement subversif et improbablement accueillant dans ce lieu à la faune bigarrée et interlope. Pour vous dire, on a fait fonctionner la machine à dessiner l'espace, l'installation à regarder le ciel comme si on était allongés mais debouts, à faire se déplacer le bateau fantôme, à construire la ville virtuelle grâce à nos mouvements, et je vous en passe. Seul regret : nous n'avons pas pu essayer la douche sonore.
- Nous vîmes enfin les Puppets ! et franchement, ça valait le coup d'attendre dans les bras du namou.
Conclusion de la conclusion : ce matin, on avait les pieds carrés à force de s'approprier les codes de ce genre nouveau pour moi, l'hipop, qui exige de sauter, de lever le bras, de siffler quand on aime (oui tout est inversé) et surtout surtout de ne jamais applaudir (ça fait vieux schnock).